• Dieudonné reparle de Le Pen, des juifs… et dérape encore

    On pourrait appeler ça un sketch, s'il ne frisait pas une nouvelle fois l'antisémitisme. Le pseudo humoriste Dieudonné est (déjà ! ) revenu sur scène sur la polémique qui a entouré le parrainage de son troisième enfant par le leader frontiste Jean-Marie Le Pen.

    Jeudi, dans son théâtre parisien de la Main d'or, il a rajouté six minutes à son spectacle du moment, le bien nommé « J'ai fait l'con ». Un des spectateurs présents a filmé chacune des tirades et a publié la vidéo sur son blog d'extrême droite La Banlieue s'exprime. Des tirades qui, comme à l'accoutumée, se révèlent aussi explicites que provocantes :

    « J'avais pas les moyens de faire autre chose. Vous savez combien ça coûte une campagne de promotion sur TF1 ? (…) Au début, j'ai pensé à une fausse agression. Je me suis dit : je vais me faire taper à coups de barre à mine dans XIXe. C'est vrai que c'est assez efficace. Mais j'ai un pote qui m'a dit laisse tomber. (…) Faut être juif pour ça. » (Voir la vidéo)

     

    Dieudonné M'bala M'bala de son vrai nom, et avec lui au passage son « pote » -comme il l'appelle- Jean-Marie Le Pen, est effectivement parvenu à faire encore parler de lui. De la publicité immédiate certes, mais qui pourrait se prolonger comme souvent dans les prétoires.

    Relaxé à de nombreuses reprises, il vient cependant d'être condamné par deux fois. Le 15 novembre dernier, pour avoir comparé les juifs à des « négriers ». Puis le 26 juin, pour avoir parlé de « pornographie mémorielle » à propos de la commémoration de la Shoah.


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  • Silvio Berlusconi a été poursuivi dans près de dix affaires judiciaires pour corruption, fraude fiscale, faux en bilan ou financement illicite de parti politique. Il a plusieurs fois été condamné en première instance mais a toujours été relaxé en appel ou a bénéficié de la prescription.

    Affaire SME [modifier]

    Dans l'affaire judiciaire dite SME du nom d’un groupe italien agro-alimentaire semi-public racheté à un prix avantageux, Silvio Berlusconi aurait versé des sommes particulièrement importantes de son compte personnel de la Fininvest sur celui du juge italien chargé de cette affaire, à travers le compte de son avocat, Cesare Previti. Silvio Berlusconi aurait ainsi soudoyé des juges pour bloquer la vente de SME à un prix très bas à la société italienne Buitoni appartenant à l'industriel Carlo De Benedetti[7].

    Le parquet de Milan a mis en évidence un transfert de 434 000 dollars vers la Suisse, qui était revenu en 1991 sur le compte du juge romain Renato Squillante. Cet élément n'a pu servir contre Silvio Berlusconi car les faits étaient prescrits[8].

    En décembre 2004, Silvio Berlusconi a été relaxé mais son avocat Cesare Previti est condamné à 5 ans de prison ferme et le juge corrompu à 7 ans[réf. nécessaire]. La loi italienne a été amendée par le Parlement italien, qui a voté une loi qui ne prévoit pas l’exécution de la prison pour les condamnés de plus de 70 ans. Cesare Previti vient de fêter son 70e anniversaire. En novembre 2006, la Cour de cassation italienne a annulé la peine de Cesare Previti pour incompétence territoriale[7]. Son procès a alors été renvoyé devant le tribunal de Pérouse.

    Le 16 février 2007, la Cour de cassation italienne a estimé que Silvio Berlusconi devait être rejugé pour cette affaire.

    En mars 2007 le procureur Piero De Petris avait requis une peine de cinq ans d'emprisonnement contre Silvio Berlusconi[9], mais le 27 avril 2007, une cour d'appel milanaise a acquitté Silvio Berlusconi dans l'affaire SME, maintenant l'acquittement prononcé en première instance en 2004.

    Une loi adoptée par son gouvernement stipulait qu'il ne pouvait pas être rejugé, mais celle-ci a été déclarée contraire à la constitution en 2006, donnant aux procureurs l'occasion d'un jugement en appel[10]. Le 26 octobre 2007, la Cour de cassation italienne a acquitté définitivement Silvio Berlusconi dans l'affaire de la vente avortée de la société agroalimentaire SME (affaire SME)[8].

    Affaire David Mills [modifier]

    En mars 2005, sa probité est de nouveau mise en doute, en tant que suborneur d’actes judiciaires. Selon les procureurs Alfredo Robledo et Fabio De Pasquale, via sa société Fininvest, il aurait versé 600.000 dollars en 1997 à l’avocat britannique David Mills (époux de Tessa Jowell alors ministre de la Culture britannique), en échange de faux témoignages et de la destruction de documents lors de deux procès intentés contre lui en 1997 et 1998 (affaire dite du rachat des droits télévision de Mediaset).

    Déjà inculpé du faux en bilan et fraude fiscale dans cette affaire, sa situation serait aggravée par cette subornation de témoin. L’enquête devait se terminer le 23 mars 2005, mais sera sans doute prolongée de six mois par le juge aux enquêtes préliminaires. Silvio Berlusconi a été cité à comparaître début décembre par le parquet de Milan : il ne s'est pas rendu à cette convocation.

    L’avocat britannique aurait déclaré aux procureurs : « Mi auguro sarà chiaro che i miei rapporti con il gruppo Fininvest erano strettamente professionali, che ogni somma da me ricevuta è pienamente giustificata e che non si può certo dire che io sia mai stato addomesticato o 'comperato' » (j'espère qu'il sera clair que mes rapports avec le groupe Fininvest étaient strictement professionnels, que chaque somme que j'ai perçue est entièrement justifiée et qu'il est impossible de dire que j'ai été apprivoisé ou 'acheté'). David Mills, il faut le rappeler, avant d’être placé sous enquête pour cette affaire, avait déjà témoigné lors de trois procès à Berlusconi : All Iberian, Guardia di Finanza et Sme (lors d’une audience qui s’est tenue à Londres).

    Le 10 mars 2006, le Parquet de Milan réclame la tenue d'un procès contre Silvio Berlusconi dans l' affaire de corruption présumée impliquant également l'époux de la ministre de la Culture britannique. Berlusconi est poursuivi pour corruption en actes judiciaires. Cette annonce tombe au plus mal pour le président du Conseil italien à un mois des élections législatives des 9 et 10 avril, qu'il perd face à l'Union de la gauche [cf plus haut].

    Le 30 octobre 2006, le juge des audiences préliminaires de Milan, Fabio Paparella, l'a renvoyé, ainsi que son avocat le Britannique David Mills, devant la justice pour corruption en matière d'actes judiciaires. Le juge reproche à David Mills d'avoir fait plusieurs faux témoignages en faveur de Silvio Berlusconi lors de deux procès impliquant la Fininvest.

    Silvio Berlusconi et David Mills comparaissent en octobre 2007 devant le tribunal de Milan pour cette affaire. Les peines encourues par les deux prévenus vont de quatre à douze ans de prison.

    Le 23 juillet 2008 Berlusconi fait voter une loi lui donnant une immunité judiciaire tant qu'il occupera la fonction de Président du conseil.

    Affaire Mediaset [modifier]

    Le parquet de Milan a demandé, le 26 avril 2005, le renvoi de Silvio Berlusconi et de douze autres personnes dans une affaire de droits de retransmission concernant Mediaset, son groupe de télévision.

    Silvio Berlusconi, qui contrôle le groupe Mediaset à travers sa holding Fininvest, est accusé de faux en bilan, fraude fiscale et abus de biens sociaux, dans le cadre d'une enquête judiciaire qui a débuté en juin 2001. Le président du groupe Mediaset, Fedele Confalonieri, ami de longue date de M. Berlusconi fait partie des personnes pour lesquelles un renvoi a été demandé, au terme d'une enquête conduite par les juges d'instruction Alfredo Robledo et Fabio De Pasquale.

    Berlusconi avait été inscrit dans le registre des personnes mises sous enquête (équivalent italien de la mise en examen) le 19 février 2003. Les magistrats estiment que Mediaset a artificiellement gonflé, à travers des sociétés écrans off-shore, les prix d'achat des droits de diffusion de films américains.

    Grâce à ces opérations, le groupe appartenant à Silvio Berlusconi aurait réussi à constituer des caisses noires à l'étranger et à réduire en Italie les bénéfices de Mediaset afin de payer moins d'impôts. Entre 1994 et 1995, juste avant son introduction en bourse, la société aurait ainsi gonflé de 171 millions de dollars le prix des films acquis aux États-Unis.

    Les droits de retransmissions des films et programmes télévision étaient acquis aux États-Unis par deux sociétés écrans. Marina et Piersilvio Berlusconi, les deux enfants aînés de Silvio Berlusconi qui occupent des postes de direction à Fininvest et Mediaset, ont également été impliqués dans cette enquête mais leur dossier a été disjoint du reste de l'instruction. Mediaset s'est toujours défendu d'avoir fraudé, soulignant à diverses reprises, que « les droits cinématographiques ont été acquis aux prix du marché ».


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    Par Adam Entous et Joseph Nasr

    JERUSALEM (Reuters) - Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a avisé des pays amis qu'Israël préparait une offensive contre les activistes palestiniens à Gaza et son adjoint Matan Vilnaï a prévenu ces derniers qu'ils s'exposaient à une "shoah" s'ils poursuivaient leurs tirs de roquettes contre l'Etat juif.

    Plus d'une trentaine de Palestiniens, dont cinq enfants, ont été tués depuis mercredi dans des raids israéliens à Gaza, tandis qu'un civil israélien a été victime d'un recrudescence des tirs de roquettes sur Israël, dont certaines ont atteint la grande ville d'Ashekelon, à 10 km du territoire aux mains du Hamas.

    "Plus les tirs de roquettes Kassam s'intensifieront, plus les roquettes augmenteront de portée, plus la shoah à laquelle il s'exposeront sera importante, parce que nous emploierons toute notre puissance pour nous défendre", a dit Vilnaï à la radio de l'armée israélienne".

    "Shoah" est un mot hébreu le plus souvent utilisé pour signifier holocauste, et plus particulièrement le génocide des Juifs durant par le régime nazi, mais il peut vouloir dire aussi désastre ou conflagration.

    Sami Abou Zouhri, porte-parole du Hamas, a réagi aussitôt en affirmant: "Nous sommes confrontés à de nouveaux nazis qui veulent massacrer et brûler le peuple palestinien".

    "PAS D'AUTRE CHOIX"

    Le porte-parole de Vilnaï a toutefois assuré qu'il n'avait aucunement voulu faire allusion à un génocide et qu'il avait employé le mot "shoah" dans le sens de désastre. Le ministère des Affaires étrangères a fait une mise au point analogue.

    Le Premier ministre Ehud Olmert répugne à ordonner une opération terrestre d'envergure à Gaza, susceptible de causer la mort de nombreux civils palestiniens et des pertes sérieuses dans les rangs de Tsahal, mais il y est incité de plus en plus fortement.

    Le ministère des Affaires étrangères a averti jeudi soir que la poursuite des tirs de roquettes pourrait "ne pas laisser d'autre choix à Israël" que de renvoyer son armée à Gaza, d'où elle s'était retirée à l'été 2005 après 38 ans d'occupation.

    Un haut responsable du parti centriste Kadima d'Ehud Olmert, Tzachi Hanegbi, a estimé pour sa part que l'armée devait se préparer à renverser le Hamas et à réoccuper les zone de Gaza d'où les activistes tirent des missiles sur Israël.

    Ehud Barak a adressé à des dirigeants étrangers, dont la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice, des messages les préparant à cette éventualité, qualifiée de "folie" et d'"hystérie" par Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas à Gaza.

    "Israël ne souhaite pas une offensive, mais le Hamas ne nous laisse pas d'autre choix", écrit le dirigeant travailliste, selon le quotidien Yedioth Ahronoth. De source militaire, on dément toutefois qu'une telle opération soit imminente.

    Version française Marc Delteil


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  • Mais surtout, elle nous prend pour des demeurés, et oublie de faire le ménage devant sa porte:

    "L'affaire de la caisse noire de la Fédération de la métallurgie est encore plus grave qu'on l'imaginait. Ce n'est pas seulement 5,6 millions d'euros que le président de l'Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM), Denis Gautier-Sauvagnac (DGS), a sorti en liquide, entre 2000 et 2007, mais près du triple. L'enquête révèle en effet que DGS ne puisait pas dans un seul compte de la fédération, mais dans trois. Le total des sommes en espèces retirées au cours de la même période s'élèverait donc à près de 15 millions d'euros."

    "DENIS GAUTIER-SAUVAGNAC, le président de l'Union industrielle des métiers de la métallurgie (UIMM) actuellement au coeur d'une enquête judiciaire, garde toutes ses responsabilités au Medef. Et conduira, comme si de rien n'était, la délégation patronale qui poursuit ce matin avec les syndicats l'importante négociation sur la modernisation du travail. 



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  • .........integrent le club des reac-facho Détruire d'abord. Son diplôme de droit dans une main, l'arme dans l'autre. Lech Kaczynski participe à la grande grève de Gdansk contre le pouvoir communiste. C'est l'époque de Solidarnosc, au sein duquel lui et son frère jumeau Jaroslaw Kaczynski font carrière, au point de devenir les plus proches conseillers de Walesa le leader.

    La fin de l'URSS sonne l'arrivée des jumeaux au gouvernement. Mais le conflit éclate vite. Viré de son mandat au ministère de l'intérieur, Lech Kaczynski s'en fout. Il dirige déjà son propre parti et préside la Chambre suprême de contrôle. Sa popularité, il la doit au ministère de la justice, au tournant du millénaire. Kaczynski « détruit » et se veut le Terminator de la corruption héritée du régime communiste.

    Garant d'un ordre néo-conservateur, Lech Kaczynski développe le parti Droit et justice avec son frère, et signe l'alliance avec les ultracatholiques. Elu président en 2005, son frère devenu Premier ministre en 2006, Lech Kaczynski veut construire une nouvelle Pologne. Celle qui dit non à l'ultralibéralisme et à la dissolution des mœurs. Non aux homosexuels et oui à la peine de mort. Oui aux Etats-Unis mais non à l'Allemagne et à la Russie.
    En 2005, Lech Kaczynski interdit la gay pride à Varsovie, la ville dont il est maire, et autorise la « Parade de la normalité » aux catholiques. L'ordre nouveau a commencé.


                                                        ..... ET POURTANT ON 'EST BIEN EN EUROPE
    L'extrême droite polonaise veut une totale interdiction de l'IVG

    Varsovie . Manifestations et contre-manifestations se succèdent. Le Parlement débat d'une modification de la Constitution, proposée par la Ligue des familles polonaise, sur l'avortement.

    De l'église au Parlement, c'est l'itinéraire tout symbolique choisi par les 4 000 manifestants venus réclamer un durcissement de la loi polonaise sur l'avortement - déjà une des plus prohibitives d'Europe. Répondant à l'appel de Radio Maryja, une station catholique intégriste, ils voulaient par leur présence peser sur la Diète (la Chambre basse du Parlement polonais) où est débattu en ce moment un amendement à la Constitution proposé par la Ligue des familles polonaise (extrême droite, présent dans la coalition gouvernementale) afin de défendre les droits de « l'être humain dès sa conception ».

    le rôle déterminant du pape Jean-Paul II

    Cette mention qui empêcherait à l'avenir toute libéralisation de la loi en vigueur sur l'avortement, permettrait même d'imposer une interdiction absolue de toute interruption volontaire de grossesse, aujourd'hui tolérée à titre exceptionnel en cas de viol ou d'inceste, quand un accouchement ferait courir un risque pour la mère, ou en cas de malformation irréversible du foetus.

    Réunis au coeur de Varsovie devant l'église Saint-Alexandre, portant des drapeaux aux couleurs de la Pologne, les manifestants arboraient des banderoles clamant qu'une « nation qui tue ses propres enfants est une nation sans avenir », citation du pape Jean-Paul II qui a joué un rôle déterminant dans la pénalisation de l'avortement en 1993. En réponse à cette offensive de ceux qui, sans ironie, se revendiquent « pour la vie », une autre manifestation a réuni au même moment plusieurs centaines de personnes à l'appel de la coordination « Pro choice » (pour le choix), qui peine à faire percer la cause des femmes dans un espace médiatique assez unanime pour défendre la législation en vigueur. Pour autant, et malgré le soutien « sans réserve » d'une large frange de l'épiscopat polonais, la Ligue des familles a peu de chances d'obtenir la majorité des deux tiers indispensable pour amender la Constitution lors du vote qui devrait avoir lieu à la mi-avril.

    Le Parti droit et justice (PIS, conservateur) est divisé sur la question. Les frères jumeaux Lech et Jaroslaw Kaczynski, respectivement président et premier ministre, se sont démarqués de Roman Giertych (président de la Ligue des familles et ministre de l'Éducation) sur cette question, comme ils avaient dû le faire après une diatribe mêlant homophobie et antiavortement prononcée par ce dernier le 1er mars à l'occasion d'une réunion des ministres de l'Éducation de l'Union européenne. Les Kazcynski proposent ainsi un amendement « moins sévère » qui stipulerait le caractère « immuable » de la législation en vigueur. Justifiée par le fait « qu'un État souverain et démocratique ne peut pas obliger une femme violée à accoucher d'un enfant », leur position leur a valu les foudres de Radio Maryja, qui leur est pourtant traditionnellement acquise.

    obligées d'avorter clandestinement

    Elle n'en est pourtant pas moins intolérable pour les femmes polonaises, dont 80 000 à 200 000 sont obligées d'avorter clandestinement, selon les chiffres des associations féministes, qui dénoncent le coût prohibitif de ces opérations clandestines, inaccessibles à la majorité des femmes et effectuées dans des conditions souvent désastreuses. La situation est d'autant plus dramatique que les femmes qui remplissent les stricts critères qui leur permettraient d'avorter selon la loi, se heurtent à la mauvaise volonté des médecins ou des hôpitaux. Il y a tout juste une semaine, la Cour européenne des droits de l'homme a ainsi condamné la Pologne pour avoir refusé, en 2000, un avortement thérapeutique à une femme devenue aveugle suite à son accouchement. Tout en ayant diagnostiqué ce risque, les trois spécialistes qu'elle avait consultés avaient refusé de lui délivrer un certificat.

    Anne Roy


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