• Bravo Chaouchi !

    L’Algérie est au Mondial, et c’est grâce à des gladiateurs qui ont su défendre crânement les couleurs et l’honneur de notre patrie, après le traquenard et les agressions odieuses du Caire.


    Des joueurs, par amour aux milliers de fans qui ont fait le déplacement à Khartoum et aux millions qui attendaient cette qualification ont permis que le rêve devienne réalité. Cette grande victoire à Khartoum est l’œuvre des héros, que sont les capés de Saâdane. Mais il faut dire que si cette qualification est l’œuvre de tous les joueurs, avec le mérite qui revient à toute l’équipe, joueurs, dirigeants, staff et aux supporters qui ont fait le déplacement, une mention spéciale est à décerner au portier Faouzi Chaouchi, et pour cause. Pour sa première sortie officielle avec les Verts et dans un match aussi délicat que capital, l’enfant de Bordj Ménaïel a su sortir le grand jeu, en gardant sa cage vide, et donner forme au rêve de tous les Algériens. En effet, bien concentré sur son sujet, inébranlable, tel un guerrier, Chaouchi a été le digne remplaçant de Gaouaoui dans la cage.

    Ni l’importance de la rencontre ni les assauts répétés des attaquants égyptiens, et encore moins la pression qui a pesé sur son dos pour sa première cape, n’ont ébranlé le portier des Verts, qui est sans conteste l’homme du match, pour ne pas dire monsieur 50%. Calme, serein et quelquefois même provocateur à l’égard des Egyptiens, Chaouchi a donné confiance à ses coéquipiers et à tous les Algériens grâce à ses sorties et à ses courageuses interventions, annihilant du coup toute chance à ses adversaires d’inscrire le moindre but, traçant ainsi la route du Mondial sud-africain aux Verts. Il faut dire que depuis le match du Caire et la suspension de Gaouaoui, qui a mis Chaouchi au-devant de la scène footballistique nationale, les avis étaient partagés à son sujet, en raison de son caractère et du fait qu’il allait prendre part à son premier match officiel en sélection et quel match ! Probablement, l’un des plus importants dans l’histoire du parcours de notre sélection, même si techniquement, il n’y avait aucun doute sur les qualités et la stature de Chaouchi, qui a eu d’ailleurs (à notre grande joie) à le prouver à Khartoum. Alors merci les Verts et merci à M. Chaouchi pour cette immense joie qu’ils ont donnée aux Algériens. Vive l’Algérie.

     Article de :L'info. au quotidien

     

     


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  • Organisé conjointement par l’association
    des amis du sport et la JF Tizi
    Ouzou sous le slogan «faites du foot», le
    tournoi international poussin qui s’est
    déroulé le 23 et 24 mai dernier au stade du
    1er-Novembre de Tizi-Ouzou a connu un
    large succès à tous les niveaux. En effet,
    cette manifestation à laquelle ont pris part
    huit formations, à savoir la JF Tizi-Ouzou
    Aet B, le PS Draâ Ben Khedda, Oued Smar
    (Alger), Sougueur (Tiaret), Bouzeguène,
    Bouira et le Kremlin Bicêtre a drainé nombreux
    un public deux jours durant par un
    football de qualité. Ce tournoi qui a été
    remporté par la JF Tizi Ouzou (A) drivée
    par Chabane Meftah devant le Kremlin
    Bicêtre aux tirs au but, a permis également
    en plus des échanges, entre les jeunes de
    découvrir de véritables talents à l’image de
    El Malki Aïda, l’unique fille qui a joué avec
    la formation du Kremlin Bicêtre, avec son
    coéquipier Kounde Alam et Dahlal Dida de
    la JF Tizi Ouzou. Trois éléments qui se sont
    illustrés tout au long de cette joute internationale
    qui prendra, selon M. Mustapha
    Meghrici, l’année prochaine une plus grande
    envergure avec la participation de quatre
    équipes étrangères «Les responsables du
    Kremlin Bicêtre nous ont promis de revenir
    l’année prochaine avec trois autres associations,
    deux de la région parisienne et la
    formation du Raja de Casablanca». A
    signaler que les formations participantes au
    tournoi ont été totalement prises en charge
    tant sur le plan de l’hébergement que de la
    restauration par les organisateurs que sont
    l’association des amis du sport et la JF Tizi
    Ouzou présidée respectivement par
    Mustapha Meghrici et Hamid Amirouche.
    S. K.

     

     

     

     

     

     

     

    LES VAINQUEURS DU TOURNOI

    JF TIZI OUZOU

     

    LE KB VICE CHAMPION


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  • Les cylons, robots humanoïdes créés par les humains et dont ils sont devenus les ennemis jurés, ont complètement disparu de l'univers connu depuis la signature d'une trêve depuis une quarantaine d'années. Durant ce répit, les humains ont reconstruit leurs mondes (les Douze Colonies), créant de nouveaux vaisseaux et vivant désormais dans une certaine insouciance du passé. Le vieux battlestar Galactica, qui a rendu de fiers services lors de la première guerre contre les cylons, est sur le point d'être démilitarisé et transformé en musée.

    C'est le moment que choisissent les cylons pour réapparaître, dotés de nouvelles technologies qui leur permettent de ravager à nouveau les douze colonies humaines. Protégé des virus informatiques ennemis par son obsolescence, seul l'antique Galactica parvient à résister à l'attaque et devient ainsi l'unique escorte militaire d'une flotte spatiale hétéroclite regroupant les derniers survivants de l'humanité. Afin de se donner un nouvel espoir, la flotte de réfugiés part alors en quête d'une mythique treizième colonie qui porterait le nom de « Terre » tandis que, les cylons se lancent à leur poursuite, déterminés à les exterminer.


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    L’« ère Lieberman » a commencé

    Les Palestiniens d’Israël, otages de l’extrême droite

    A la fin mars, le dirigeant d’extrême droite Avigdor Lieberman a accédé aux postes de vice-premier ministre et de ministre des affaires étrangères d’Israël. Lorsque Jörg Haider et ses amis du Parti libéral (FPÖ) entrèrent, en 2000, dans le gouvernement autrichien, l’Europe protesta quasi unanimement. Ce que, curieusement, elle n’a pas fait cette fois. Pourtant, conformément à la ligne de son parti, Israël Beitenou (« Israël, notre maison »), le leader d’origine russe a multiplié, tout au long de la campagne électorale, les déclarations racistes envers les Palestiniens d’Israël. On aura surtout retenu, en Occident, les premières déclarations du nouveau chef de la diplomatie jetant aux orties tous les accords signés précédemment par son pays, y compris la conférence purement médiatique d’Annapolis. De fait, elles ont provoqué un premier clash avec l’administration de M. Barack Obama, en quête de détente au Proche-Orient. Mais, en matière de politique intérieure, la remise en cause par M. Lieberman de la citoyenneté des Palestiniens d’Israël et sa proposition de les « transférer » à terme risquent d’alimenter d’autres clashs, sanglants ceux-là, entre citoyens juifs et arabes.

    Par Joseph Algazy et Dominique Vidal

    Son leitmotiv : loyauté envers l’Etat. Mais il ne l’explicite jamais. Si bien qu’avant de le quitter nous lui demandons : « Imaginons que vous vous trouviez en Allemagne du temps du nazisme. A qui irait votre loyauté ? — A l’Etat », rétorque-t-il sans ciller. Cette réponse, formulée en plein Parlement, à Jérusalem, laisse pantois. D’autant que notre interlocuteur nous a raconté comment son père quitta le Reich dès l’arrivée d’Adolf Hitler au pouvoir. Comprenne qui pourra...

    Vice-président du Parlement sortant, pressenti pour diriger la nouvelle commission des lois, l’avocat David Rotem passe pour un proche de M. Avigdor Lieberman, le leader du parti Israël Beitenou, dont il rabâche les récents discours électoraux. « Qu’il soit juif, musulman ou chrétien, un citoyen doit se montrer loyal à l’égard de l’Etat. Sinon ce n’est pas un citoyen. » Et de s’en prendre, d’une même tirade, au rabbin Meyer Hirsch, coupable d’avoir rencontré le président iranien Mahmoud Ahmadinejad , comme aux députés arabes qui ont osé manifester contre le massacre perpétré à Gaza.

    D’où la proposition du parti : que chaque Israélien prête serment au drapeau (qui comporte le bouclier de David, symbole du judaïsme), chante l’hymne national (qui évoque l’« âme juive ») et accomplisse, le cas échéant sous forme civile, son service militaire (auquel les Arabes, à l’exception des Druzes et de certains Bédouins, mais aussi les ultra-orthodoxes, ne sont pas astreints).

    Son mot d’ordre électoral en dit long : « Seul Lieberman parle arabe ». Commentaire de l’historien Shlomo Sand : « Dans sa Moldavie natale, il exerçait le métier de videur de boîte de nuit. Maintenant, ce sont les Arabes qu’il veut vider. » Cette boutade néglige toutefois une spécificité du parti russe : le projet officiel de ce mouvement consiste non à expulser les Palestiniens — comme en 1948 —, mais à rattacher au futur Etat palestinien les territoires où ils se concentrent, en particulier le nord du Triangle, Oum Al-Fahm et ses environs. En échange, Israël annexerait les blocs de colonies de Cisjordanie, (...)


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